◄► La folle journée de Kaal Belltower ◄►
Et c'est ainsi que je me retrouve plus ou moins caché, au fond de ce café et dos tourné à tout. Je suis assis à la table d'un parfait inconnue qui ne doit pas comprendre qui je suis et ce que je fais là. En fait, il m'a peut-être reconnu aller savoir, mais j'espère surtout garder un peu de ce moment de grâce et de paix avant que tout ce cirque ne recommence.
"Désolé pour mon intrusion, je vous offre le déjeuner pour me faire pardonner. Où un café si vous le souhaitez."
Je lui fais un demi-sourire, mais je sue à grosse goutte alors que je retire la capuche qui couvrait encore ma tête en partie. Derrière, plusieurs fois déjà des gens sont passés devant la grande vitre de la devanture de l'établissement en me cherchant. Ils essayent de trouver un fuyard seul et en costume cravate noir et rouge, je suis dans un imperméable... Emprunté... En bonne compagnie et dans le fond d'une lieu pas forcément des plus secrets même si ça ne tiendra pas éternellement. Qui est dehors ? La sécurité de ma propre entreprise, mais surtout encore et toujours des personnes qui pensent que je suis l'homme crabe de ce monde et même une paire de fanatiques qui ont essayé de me planter un pieu en argent dans le cœur, un pieu en argent ça fait super mal en plus il est très pointu !
"Certaines journées sont plus folles que d'autres n'est-ce pas ?"
À qui le dis-je, un moment avant il était assis à la table de ce petit café, l'instant d'après le patron, le PdG d'une des plus grosses entreprises de la ville débarque, avec un imperméable volé, s'installe dos a tout et le supplie plus ou moins du regard de faire comme si tout était normal alors qu'une horde de personnes semble le chercher. Mais comment en suis-je arrivé là ? C'est une longue histoire, elle met en scène un idiot qui créer de l'argent avec des idées plus ou moins géniales, moi donc, mais aussi, un drame photographique ou plutôt holographique ainsi que des fanatiques et une mâtinée pluvieuse. Une histoire qui fleure bon le quiproquo et qui prouve qu'il est plus que temps que je retrouve un ou une chef de la sécurité compétente si je veux survivre dans ce milieu hostile.
"D'ailleurs, je m'excuse de briser la tranquillité de la vôtre."
À ce moment-là, j'aurais déjà dû me présenter. Mais pour le moment, je suis occupé à respirer, en sueur, trempé d'eau de pluie et des propres effluves de mon corps et tremblant à cause du froid et surtout de l'agitation ambiante. Pour le moment, personne ne m'a reconnue, je ne suis pas le seul homme de couleur avec les cheveux court et teint, mais dès que quelqu'un va me reconnaître le cirque va recommencer.
"Désolé pour mon intrusion, je vous offre le déjeuner pour me faire pardonner. Où un café si vous le souhaitez."
Je lui fais un demi-sourire, mais je sue à grosse goutte alors que je retire la capuche qui couvrait encore ma tête en partie. Derrière, plusieurs fois déjà des gens sont passés devant la grande vitre de la devanture de l'établissement en me cherchant. Ils essayent de trouver un fuyard seul et en costume cravate noir et rouge, je suis dans un imperméable... Emprunté... En bonne compagnie et dans le fond d'une lieu pas forcément des plus secrets même si ça ne tiendra pas éternellement. Qui est dehors ? La sécurité de ma propre entreprise, mais surtout encore et toujours des personnes qui pensent que je suis l'homme crabe de ce monde et même une paire de fanatiques qui ont essayé de me planter un pieu en argent dans le cœur, un pieu en argent ça fait super mal en plus il est très pointu !
"Certaines journées sont plus folles que d'autres n'est-ce pas ?"
À qui le dis-je, un moment avant il était assis à la table de ce petit café, l'instant d'après le patron, le PdG d'une des plus grosses entreprises de la ville débarque, avec un imperméable volé, s'installe dos a tout et le supplie plus ou moins du regard de faire comme si tout était normal alors qu'une horde de personnes semble le chercher. Mais comment en suis-je arrivé là ? C'est une longue histoire, elle met en scène un idiot qui créer de l'argent avec des idées plus ou moins géniales, moi donc, mais aussi, un drame photographique ou plutôt holographique ainsi que des fanatiques et une mâtinée pluvieuse. Une histoire qui fleure bon le quiproquo et qui prouve qu'il est plus que temps que je retrouve un ou une chef de la sécurité compétente si je veux survivre dans ce milieu hostile.
"D'ailleurs, je m'excuse de briser la tranquillité de la vôtre."
À ce moment-là, j'aurais déjà dû me présenter. Mais pour le moment, je suis occupé à respirer, en sueur, trempé d'eau de pluie et des propres effluves de mon corps et tremblant à cause du froid et surtout de l'agitation ambiante. Pour le moment, personne ne m'a reconnue, je ne suis pas le seul homme de couleur avec les cheveux court et teint, mais dès que quelqu'un va me reconnaître le cirque va recommencer.