I can show you the world
Il savait que tout ce qu'il avait fait dans cette pièce allait être à son goût. Il la connaissait. A chaque fois qu'il lui faisait quelque chose depuis plusieurs mois, ses réactions ne pointaient que vers cette direction. Tant bien même elle ne disait pas grand chose en découvrant ces lieux secrets jusqu'alors, il savait pertinemment qu'il avait fait mouche. Il ne pouvait en être autrement.
Lorsqu'elle comprend finalement que tout a été fait avec une seule pensée. Chaque objet a été imaginé ou acquis avec une image en tête : Comment allait-il l'utiliser sur elle ? Comment allait-elle être dans ces vêtements ? Comment allait-elle se tortiller de plaisir avec cet objet? Doucement, elle se l'imagine elle-même. Elle saisit l'ampleur du travail, ce qu'il impliquait. Mieux encore, ce qu'il allait impliquer !
Elle le comprend et le lui fait savoir pour finalement lui montrer un air satisfait. Cain se contente de lui répondre d'un hochement de la tête. Si elle est satisfaite, il l'est également. C'était ainsi qu'il fonctionnait après tout. Sa satisfaction personnelle passait par celle de sa partenaire. Et depuis quelque mois et à jamais, sa partenaire était Hannibal et uniquement Hannibal. Il pouvait donc se livrer corps et âme à son plaisir personnel à elle uniquement.
Il avait les ressources, les idées et les connaissances pour faire de chacun de ses désirs une réalité. Et il comptait bien s'employer à le faire jusqu'au bout. Ceci n'était qu'un début. Plus elle allait y goûter, plus elle allait en vouloir, et plus il lui en donnerai. C'était ainsi que ça marchait après tout. Sous ses yeux n'était que l'amuse gueule en quelques sortes.
Il sourit. Oui, c'est une sorte de mode de vie. Une sorte d'avidité de la chair qui formait un cercle vicieux. Plus ils y goûtaient, plus ils en voulaient. Il tend le bras en sa direction, l'invitant à le rejoindre en dehors de la pièce. Le moment d'en profiter n'était pas encore venu.
Viens. Tu as besoin de te reposer.
Il l'observe un instant et ne peut malgré tout pas se résoudre à terminer ainsi la soirée.
Prend avec toi un objet de ton choix.
Lorsqu'elle comprend finalement que tout a été fait avec une seule pensée. Chaque objet a été imaginé ou acquis avec une image en tête : Comment allait-il l'utiliser sur elle ? Comment allait-elle être dans ces vêtements ? Comment allait-elle se tortiller de plaisir avec cet objet? Doucement, elle se l'imagine elle-même. Elle saisit l'ampleur du travail, ce qu'il impliquait. Mieux encore, ce qu'il allait impliquer !
Elle le comprend et le lui fait savoir pour finalement lui montrer un air satisfait. Cain se contente de lui répondre d'un hochement de la tête. Si elle est satisfaite, il l'est également. C'était ainsi qu'il fonctionnait après tout. Sa satisfaction personnelle passait par celle de sa partenaire. Et depuis quelque mois et à jamais, sa partenaire était Hannibal et uniquement Hannibal. Il pouvait donc se livrer corps et âme à son plaisir personnel à elle uniquement.
Il avait les ressources, les idées et les connaissances pour faire de chacun de ses désirs une réalité. Et il comptait bien s'employer à le faire jusqu'au bout. Ceci n'était qu'un début. Plus elle allait y goûter, plus elle allait en vouloir, et plus il lui en donnerai. C'était ainsi que ça marchait après tout. Sous ses yeux n'était que l'amuse gueule en quelques sortes.
Il sourit. Oui, c'est une sorte de mode de vie. Une sorte d'avidité de la chair qui formait un cercle vicieux. Plus ils y goûtaient, plus ils en voulaient. Il tend le bras en sa direction, l'invitant à le rejoindre en dehors de la pièce. Le moment d'en profiter n'était pas encore venu.
Viens. Tu as besoin de te reposer.
Il l'observe un instant et ne peut malgré tout pas se résoudre à terminer ainsi la soirée.
Prend avec toi un objet de ton choix.